Portrait

Trouver son équilibre, pour être une sage-femme épanouie

Pourquoi sage-femme ? Ce n’était pas ma première vocation. Quand j’étais vraiment petite, je voulais être clown, pour faire rire les gens. Ma soeur et mon frère me le rappellent régulièrement pour se moquer de moi. Ensuite, c’est resté flou dans ma tête assez longtemps. Vétérinaire, pédiatre, kinésithérapeute…Une chose était sûre tout de même, je voulais travailler dans le soin. Ma soeur a été ma conseillère d’orientation : « Sage-femme, c’est mignon, tu travailleras avec les femmes enceintes et les bébés ». C’est comme ça qu’elle voyait le métier ! J’ai bien fait de l’écouter, sagefemme est un métier qui m’épanouit chaque jour. J’ai fait mes études à Saint-Antoine à Paris, dont je suis sortie diplômée en 2012. À l’époque, presque tout le monde allait travailler à l’hôpital en sortant de l’école. Les études étaient très tournées vers la salle de naissance. Par exemple, je n’ai fait que deux stages courts d’une semaine en libéral, sur cinq ans d’études. Je projetais de rester une dizaine d’années à l’hôpital. À la sortie de l’école, j’ai été embauchée à la maternité Saint-Joseph en contrat à durée déterminée (CDD). Il y avait très peu de contrats à durée indéterminée (CDI) en ce temps-là. Pendant les deux ans où j’ai travaillé, j’ai dû enchainer vingt CDD d’un, deux ou trois mois. Je n’étais pas la seule concernée, toute ma promotion a beaucoup galéré pour décrocher un CDI. C’est par le bouche-à-oreille que j’ai appris qu’un cabinet se libérait rue du Cherche-Midi. La sagefemme qui l’occupait était sur le point de déménager à l’étranger. J’avais justement fait un remplacement en libéral cet été-là, qui m’avait beaucoup plu. J’ai un peu hésité, beaucoup réfléchi, puis j’ai sauté le pas. Je ne l’ai jamais regretté ! Le libéral me va comme un gant....

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A la Une

Autopalpation mammaire : pourquoi trop de femmes ne la font pas ?

Depuis quand encourage-t-on les femmes à s’auto-inspecter les seins ? La première documentationencourageant l’autoexamen des seins daterait de 1947, lorsque le docteur A. M. Popma et la Idaho Division of the American Cancer Society ont pris l’initiative de créer et diffuser un film sur le protocole d’autopalpation à travers tous les États-Unis.Les médecins avaient alors mesuré que dans 98 % des cas de cancer du sein, les patientes elles-mêmes s’étaient rendu compte que quelque chose n’allait pas, ce constat les poussant à consulter. La pratique de l’autoexamen de la poitrine a ainsi été considérée comme l’une des techniques permettant de détecter précocement un éventuel cancer du sein.Depuis, des campagnes pédagogiques et de prévention autour de l’autopalpation ont vu le jour dans de nombreux pays, mettant en lumière cette pratique. L’apparition d’Octobre rose, en 1985, aux États-Unis, a également largement contribué à la prévention autour des cancers du sein. Ce concept est arrivé en France en 1994, célébrant ses 30 ans cette année. L’objectif de cette campagne mondiale est de dépister précocement les cancers du sein afin d’améliorer le taux de survie à la maladie. État des lieux de l’autopalpation en France Près d’une femme sur huit est touchée par un cancer du sein au cours de sa vie. Et la France comporte le plus haut taux d’incidence de cancer du sein au monde, avec 105,4 cas recensés pour 100 000 personnes en 2022, selon l’Organisation mondiale de la santé. Mais également un taux de mortalité bas, avec 15,8 décès sur 100 000 personnes.Cette prévalence particulièrement importante du nombre de cancers devrait aller dans le sens d’une prévention poussée auprès des femmes, notamment en ce qui concerne l’autoexamen des seins. Pourtant, selon un sondage Ifop et Gleeden mené en 2021, 60 % des Françaises ne savent pas comment faire une autopalpation...

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Point juridique

Les limites juridiques à la PMA en France

La PMA (procréation médicalement assistée) ou AMP (assistance médicale à la procréation) désigne l’ensemble des techniques médicales permettant de concevoir un enfant lorsque la conception naturelle est difficile, voire impossible.Elle englobe différentes techniques : Jusqu’en 2021, la PMA n’était autorisée en France que pour les couples hétérosexuels (mariés, pacsés ou en concubinage depuis au moins deux ans), en âge de procréer et présentant une infertilité pathologique médicalement constatée ou risquant de transmettre une maladie grave à leur enfant. La révision de la loi de bioéthique, la troisième depuis 1994, a modifié ces règles. La loi du 2 août 2021 relative à la bioéthique a élargi la procréation médicalement assistée à toutes les femmes qui ont un projet parental, aux couples homosexuels comme aux célibataires (le critère médical d’infertilité qui conditionnait l’accès à la PMA a donc été supprimé). Cette nouvelle loi a également ouvert aux femmes la possibilité de congeler leurs ovocytes, sans motif médical, pour préserver leur possibilité de devenir mère, ce qui n’était pas autorisé en France auparavant (excepté pour des raisons médicales). La vitrification ovocytaire est ouverte à toutes les femmes entre 29 et 37 ans et, même si les délais peuvent être longs, cette démarche est gratuite, car prise en charge par la Sécurité sociale. La loi autorise également désormais le recours au double don de gamètes (ovocytes et spermatozoïdes). Les couples dont les deux membres sont stériles peuvent désormais avoir recours à la PMA. Ces évolutions majeures ont soulevé de nombreux débats, politiques, scientifiques et éthiques. Des limites à la PMA demeurent, éthiques notamment, pratiques également, qui viennent encadrer les procédures de PMA et peuvent conduire certains « parents d’intention » à se rendre dans des pays étrangers dans lesquels ces limites n’existent pas....

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Actus

Geneviève Darrieussecq, nouvelle ministre de la Santé et de l’Accès aux soins

Après cinq mois d’exercice, Frédéric Valletoux, ministre délégué à la Santé va céder la place à Geneviève Darrieussecq qui devient donc la huitième ministre de la Santé sous la présidence d’Emmanuel Macron. Membre du parti MoDem, cette ancienne médecin allergologue connaît déjà en partie la maison, pour avoir été ministre déléguée chargée des Personnes handicapées auprès du ministre de la Santé François Braun, dans le gouvernement d’Elisabeth Borne. Elle a par ailleurs une longue expérience des affaires publiques. Des dossiers majeurs Crise de l’hôpital public, urgences en tension, périnatalité, financement de la Sécurité sociale, loi sur la fin de vie, gestion des Ehpad, santé mentale, pénuries de médicaments, déserts médicaux, refonte de l’Aide médicale d’État, etc. Tous les dossiers dont hérite Geneviève Darrieussec sont brûlants. Elle devra notamment décider de l’avenir des petites maternités, trouver un équilibre entre la préservation du réseau de proximité et la rationalisation de l’offre de soins face à la pénurie de professionnels de santé (lire le compte-rendu du rapport de la mission sénatoriale sur l’avenir de la santé périnatale page 14). Pas de miracles en vue Les marges de manoeuvre de la nouvelle ministre seront réduites, avec un déficit des comptes de la Sécurité sociale qui devrait dépasser seize milliards d’euros cette année. « Hors de contrôle », a même alerté la Cour des comptes. « Je ne ferai pas de miracles, je ne suis pas une fée », a prévenu Geneviève Darrieussecq, lors de la passation de pouvoir au ministère de la Santé. Les enveloppes « augmenteront un peu », mais « jamais à la hauteur de ce que tout le monde espérerait ». Réputée discrète, la nouvelle venue saura-t-elle imposer une vision d’avenir et défendre ses vues face à Bercy ?...

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Portrait

Être au coeur de l’humain, quoi de plus passionnant ?

Pouvez-vous vous présenter et nous raconter comment vous êtes devenue sage-femme ? J’ai 53 ans et je suis sage-femme depuis 1995. J’ai eu un parcours scolaire tortueux, impacté par ma vie familiale. Le climat difficile à la maison m’a conduite à un redoublement et une orientation vers un BEP sanitaire et social qui m’a permis d’effectuer des stages dans les hôpitaux. Mais tout mal à son bien, car l’expérience a été décisive. Alors que ma première idée était d’être éducatrice de jeunes enfants, j’ai compris que je faisais fausse route grâce à l’un de ces stages. Et c’est encore à l’occasion d’un stage que j’ai découvert le métier de sage-femme. La révélation ! Dès lors, j’ai entrepris de raccrocher les wagons manquants en faisant un bac technologique, puis une année de préparation au concours d’entrée (à l’époque ce n’était pas encore la première année de médecine à valider).Ensuite je suis partie pour quatre ans d’études à Bourg-en-Bresse dans l’Ain. C’était difficile et passionnant à la fois. On était en stage la nuit et on devait se reposer le matin. L’après-midi, on retournait en cours. C’était intense, mais j’ai adoré ces études parce qu’elles étaient très cliniques. Pensez donc, j’ai réalisé un accouchement dès le premier jour de stage de ma première année ! À quatre mains, bien sûr, avec une sage-femme, mais quand même, vous imaginez ?Et puis nous étions très soudées dans la promotion, des liens d’amitié forts sont nés pendant ces années-là et ont perduré jusqu’à aujourd’hui ! Mon rêve ? Travailler à l’hôpital ! Je n’envisageais pas de commencer ma carrière sans passer par la salle d’accouchement. Je voulais travailler à l’hôpital. J’ai été exaucée, puisque j’y suis restée 22 ans. J’avais deux jours de diplôme en poche quand j’ai débuté à Paris, en 1995. Ayant fait...

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sante environnementale
Grand Angle

Santé environnementale : des ateliers en plein essor

« On peut être acteur sur notre santé. En revanche, il y a des choses que l’on subit. Lesquelles selon vous ? » C’est autour de cette réflexion, lancée par Marie Leguen, que débute l’un des tout premiers ateliers Santé Environnement du CHU de Rennes (Ille-et-Vilaine). Juchées chacune sur un ballon de grossesse, Lamiia, Fatou, Solenn et Marlène réfléchissent un peu avant de répondre à la sage-femme.« L’eau qu’on consomme ? », tente l’une des trentenaires, dans l’ambiance feutrée de la salle de préparation à la naissance en cet après-midi de septembre. Marie Leguen corrige et complète : « Notre âge, notre patrimoine génétique… Et sur quoi peut-on agir ? » Assez vite, les quatre participantes listent d’ellesmêmes ce qui sera le programme de cet atelier bimensuel : l’alimentation, l’air intérieur, les produits ménagers, les cosmétiques… Objectifs de ces deux heures ? Apprendre aux parents et jeunes parents à reconnaître les polluants dans leur environnement et à les limiter. « Un polluant en moins, c’est une chance en plus d’être en meilleure santé », formule Marie Leguen avant d’égrener les risques associés à court, moyen et long terme, comme les cancers, les maladies chroniques ou la diminution de la fertilité. « Les femmes sont plus réceptives » Pour la sage-femme, la grossesse est le moment opportun pour aborder ces questions : « Les 1 000 premiers jours, c’est-à-dire de la conception aux 2 ans de l’enfant, sont une période de grande vulnérabilité, rappelle cette professionnelle, arrivée au CHU dès l’obtention de son diplôme en 2005. C’est aussi un moment hors du temps où l’on voit souvent les femmes et où elles sont plus réceptives, donc davantage susceptibles de changer leurs habitudes. » Marlène, enceinte et aussi sage-femme au CHU, résume : « Comme ça passe par ton corps, tu fais...

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femmes distancent hommes
Recherche

Les jeunes femmes distancent les jeunes hommes sur le marché de l’emploi

Dans l’ensemble des pays développés, on s’était habitué à voir les filles et les jeunes femmes dépasser les garçons et les jeunes hommes à l’école. Elles avaient aussi plus de chances d’aller à l’université que leurs homologues masculins. C’était de bonne guerre, pensait-on, considérant le grand nombre de domaines dans lesquels les femmes restaient désavantagées. Au bout du compte, les hommes avaient quand même de meilleurs résultats sur le marché du travail. Ce n’est plus le cas, d’après une étude présentée mi-septembre dans le Financial Times. Avancée nette des femmes Dans plusieurs pays riches, les jeunes femmes sont désormais plus susceptibles de travailler que les jeunes hommes. Le Royaume-Uni a rejoint ce groupe en 2020, et l’écart entre le taux d’emploi des femmes de 20 à 24 ans et celui des hommes s’est creusé depuis pour atteindre trois points de pourcentage.C’est en 2022 que, pour la première fois, le revenu moyen d’une jeune femme au Royaume-Uni a été supérieur à celui de son homologue masculin. La transition n’a pas encore eu lieu aux États-Unis, mais le déficit du taux d’emploi des jeunes femmes est passé de près de 10 points de pourcentage en 2006 à un seul point l’année dernière. Dans ces pays, lorsqu’on demande « qui fait le plus gros du travail pour élever les enfants ? » ou « qui se concentre sur l’obtention d’une bonne éducation ? » ou encore « qui travaille pour ramener un bon revenu à la maison ? », la réponse est la même : « les femmes ».Si la France résiste encore au phénomène, les courbes suivent le même chemin et ne devraient plus tarder à se croiser. Déclin des hommes non diplômés Tandis que les jeunes femmes progressent, beaucoup de jeunes hommes se désengagent du travail et de l’éducation, ce qui...

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A la Une

Accompagner les patientes en parcours PMA

« Notre champ de compétences est assez large. Malheureusement, tous les centres ne sont pas dotés des mêmes effectifs de sages-femmes. Ceux qui en ont le moins sont aussi ceux qui ont le moins de temps à dédier aux patients et à leur suivi, pourtant essentiel. ». C’est l’intime conviction de Céline Forel, sage-femme au centre de fertilité de l’hôpital Tenon à Paris. Cette réalité se reflète jusque dans les chiffres : en 2020, le nombre moyen de sages-femmes par centre était de quatre (d’un à dix selon les centres)1. Considérées comme trop coûteuses, elles sont absentes des services de fertilité privés.Manque d’effectif, mais aussi de reconnaissance, notamment salariale, méfiance parfois même, par peur de la concurrence… Pourtant, les sages-femmes sont autorisées à y exercer depuis l’entrée en vigueur du décret de modification du Code de santé publique de 2012, reconnaissant leur droit de concourir aux activités d’AMP2. Un rôle à jouer pour rendre la PMA plus effective Bonne nouvelle, il y a bien des manières pour les sages-femmes d’accompagner leurs patientes en PMA : en cabinet, lors d’ateliers complémentaires à l’hôpital et par la mise en place autonome de nouveaux protocoles au sein des établissements. Elles ont bien plus que leurs compétences techniques à apporter sur la table. Élena, patiente en parcours au centre public de Montpellier, est catégorique : « Une sage-femme m’accompagne dans mes FIV. Elles sont beaucoup plus douces, dans l’empathie et la bienveillance. ». Ces qualités ou plutôt leur absence, c’est exactement ce qu’on reproche aux centres d’AMP. Remettre ou mettre de la maïeutique au coeur des parcours de PMA, c’est aussi concourir à leur efficacité. Pour ce faire, les sages-femmes suivent des formations complémentaires en hypnothérapie, en acupuncture, en psychologie… Des investissements personnels et professionnels qui permettent d’augmenter les chances de réussite des couples...

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Point juridique

Publicité, site internet, réseaux sociaux : la règlementation de la communication pour les sages-femmes

Jusqu’à 2020, toute publicité était interdite pour les professionnels de santé. Le Code de la santé publiqueétait précis et ferme à ce sujet : « La médecine ne doit pas être pratiquée comme un commerce » et « sont interdits tous procédés directs ou indirects de publicité » pour les professionnels de santé, y compris les sages-femmes. Dans les années 2000, le droit européen a autorisé la publicité pour les professionnels de santé et la France a été condamnée en 2017 par la Cour de justice de l’Union européenne pour infraction au principe de libre concurrence du droit européen, car elle continuait d’interdire strictement toute publicité aux professionnels de santé, les privant ainsi de toute communication sur Internet, les réseaux sociaux, interdisant même les sites de prise de rendez-vous.À la suite de cette condamnation, la France a adapté sa législation et publié six décrets modifiant les codes de déontologie des professionnels de santé et relatifs à leur communication professionnelle (Décret n° 2020-1661 du 22 décembre 2020 portant modification du code de déontologie des sages-femmes et relatif à leur communication professionnelle), qui ont ouvert de nouvelles possibilités de communication pour les professionnels de santé (médecins, chirurgiens-dentistes, pédicures-podologues, infirmiers, sages-femmes, masseurs-kinésithérapeutes).A la suite de ces décrets, de nouvelles pratiques ont vu le jour. Chaque sage-femme peut créer son siteInternet et communiquer sur les réseaux sociaux. Des sages-femmes « stars » des réseaux sociaux sont apparues (Anna Roy, Charline Gayault… sur Instagram et à la télévision). Un point sur les règles à suivre pour rester conforme à la déontologie et respecter le grand principe régulièrement rappelé par le Conseil de l’Ordre : la profession de sage-femme ne doit pas être pratiquée comme un commerce.Les sages-femmes qui communiquent sur les réseaux sociaux sont également soumises aux nouvelles règles posées par la loi du 9...

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Recherche

Cerveau : use it or lose it

Pour faire face au vieillissement et se défendre contre les maladies neurodégénératives, il est essentiel de maintenir et d’enrichir notre capital cérébral. Comment ? En s’engageant dans des apprentissages continus, des activités physiques régulières, des interactions sociales et des activités artistiques et créatives. Ces pratiques contribuent à prévenir le déclin cognitif et à retarder l’apparition des symptômesde maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer. En agissant dès maintenant pour protéger notre cerveau, nous pouvons améliorer notre qualité de vie et potentiellement gagner des années en bonne santé.Source : Fondation Recherche Alzheimer, 3 juin 2024...

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