Actus

Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens (SNPE) :un bilan trop modeste

Les perturbateurs endocriniens (PE) sont des substances chimiques qui perturbent le fonctionnement hormonal des organismes vivants, pouvant ainsi nuire à la santé humaine (cancers, troubles du neurodéveloppement, infertilité…). Ils affectent également la santé des écosystèmes, notamment la faune et la biodiversité. Des PE omniprésents On les retrouve dans de nombreux objets et produits de la vie quotidienne et professionnelle, tels que les produits ménagers, les détergents, les produits phytosanitaires, les cosmétiques et les aliments. En conséquence, ils se retrouvent également dans les milieux aquatiques, l’air et les sols. Une stratégie qui évolue Suite à une première stratégie lancée en 2014, une deuxième stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens (« SNPE2 ») a été adoptée en 2019, avec pour objectif de réduire l’exposition de la population et de l’environnement aux PE. Son plan d’action comprenait cinquante mesures, réparties en trois volets : former et informer, protéger la population et l’environnement, et améliorer les connaissances. La mission conjointe de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) et de l’Inspection générale de l’environnement et du développement durable (IGEDD) présente un bilan mitigé de la SNPE2. Des progrès ont été réalisés, notamment dans les domaines de la réglementation, de la recherche et de l’information des futurs et jeunes parents, mais ces avancées restent largement en deçà des objectifs fixés en 2019, notamment en matière de contrôles et de réduction des émissions. Objectif « zéro exposition aux PE » La mission recommande de poursuivre les efforts engagés depuis dix ans et de lancer une troisième édition de la stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens (« SNPE3 »). La gouvernance, le format et le contenu devront être revus et un objectif plus ambitieux devra être fixé pour les quinze prochaines années : « zéro exposition aux PE ».Source : Inspection générale des affaires sociales (Igas), 8 juillet...

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Portrait

Sophie Garcia, passion et formation

Après un passage en médecine et un Deug de biologie, je me suis intéressée au métier de sage-femme. La santé des femmes m’intéressait et je sentais que l’on pouvait être assez autonome dans notre travail. Je suis entrée à l’école de sagesfemmes de Besançon (Doubs). Pendant quatre ans, on alternait les stages et l’école, c’était assez chargé. Et il y avait beaucoup de pression – parfois inutile – de la part des enseignants et des sages-femmes encadrantes. Nous étions vingt-et-une, on a terminé le cursus à quinze… J’ai été diplômée en 2003. Mon mémoire portait sur la formation des étudiants sages-femmes à l’annonce d’un handicap. Je trouvais que l’on n’était pas tellement accompagnées lorsque l’on découvrait une particularité à la naissance. Et il fallait pourtant accompagner les parents. « En libéral, on se sent parfois isolée » Une fois diplômée, j’ai postulé à l’hôpital public de Chambéry, où j’avais déjà effectué un stage. Du fait de la fermeture de la maternité d’Aix-les-Bains et de la construction d’une nouvelle structure, nous sommes passés de 1 800 accouchements par an à plus de 3 000. Malgré un temps partiel, il était difficile de se faire embaucher à temps plein -, j’étais fatiguée. Je me suis installée en libéral à Montmélian, toujours en Savoie. À l’époque, ce n’était pas si fréquent, mais j’ai été très bien accueillie. J’ai collaboré avec les médecins et les services de protection maternelle infantile (PMI) du secteur. C’était la période de mise en place du réseau périnatalité des 2 Savoie, j’ai contribué à des groupes de travail. C’était un bon soutien, car en libéral, on se sent parfois isolée. Et une façon de se former : l’une des médecins était aussi consultante en lactation. Ces sessions de formation m’ont permis de soutenir des allaitements longs. « Si tu...

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sage femme réseaux sociaux
A la Une

Les sages-femmes sur les réseaux redonnent-elles le pouvoir aux femmes ?

Lutter contre la méconnaissance de la santé et de la physiologie des femmes : parmi toutes leurs missions, voilà ce que font les sages-femmes lors de leurs consultations. Certaines ont décidé d’étendre ce partage d’informations au-delà des cabinets et des hôpitaux. Parce qu’aujourd’hui, le savoir se diffuse aussi sur les réseaux sociaux. C’est ainsi que Charline Gayault alias @Charline.sagefemme, Elise Destannes alias @la.sage.femme et Sophia Rakrouki alias @mafertiliteam rassemblent respectivement des communautés de 204 000, 168 000 et 44 000 followers sur Instagram. Sans parler des personnes qui les suivent, pour certaines, sur Tiktok et Youtube.Toutes les trois sont parties du même constat. Les femmes manquent d’informations pour maîtriser leur corps et leur cycle, et donc leur contraception, leur grossesse, leur projet de maternité et leur suivi gynécologique. Les raisons sont multiples, à commencer par les déserts médicaux, une mauvaise expérience auprès d’un professionnel de santé, le sentiment d’illégitimité à poser des questions ou le manque de temps dans les consultations. Revoir les bases du corps et du cycle féminin « J’ai vu des femmes me dire qu’elles ovulaient alors qu’elles étaient sous pilule, d’autres qui ne savaient pas qu’elles pouvaient faire de la préparation à la naissance et à la parentalité », illustre Charline Gayault, sage-femme en libéral. « Ce n’est pas normal qu’une femme arrive au milieu de la nuit aux urgences gynécologiques parce qu’elle a les résultats d’un frottis HPV positif et qu’elle pense qu’elle a un cancer », souffle quant à elle Sophia Rakrouki, spécialiste de la fertilité et de l’endométriose.Encore aujourd’hui elles sont surprises par le succès de certaines de leurs vidéos, qui reviennent sur les bases de l’anatomie ou de la gynécologie. La publication d’Elise Destannes qui a le plus cartonné parle du col de l’utérus.« Les femmes n’ont pour la plupart aucune idée...

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Actus

Infection urinaire ? Se faire soigner en pharmacie est désormais possible

Deux cas de figure Dans tous les cas, le pharmacien transmet les résultats du test (positif ou négatif, avec d’éventuelles alertes) au médecin traitant ou à la sage-femme de la patiente. Comment se déroule le test ? Le pharmacien fournit un flacon à la patiente pour recueillir un échantillon d’urine. Ensuite, le pharmacien utilise une bandelette pour analyser l’urine. Selon la couleur prise par la bandelette, le pharmacien pourra déterminer s’il s’agit d’une infection urinaire nécessitant un traitement antibiotique. Quel est le coût du test urinaire ? Le coût de la prise en charge de la cystite en pharmacie est de 10 ou 15 €, selon la situation. Ce montant est pris en charge à 70 % par l’Assurance Maladie, les 30 % restants étant couverts par l’assurance maladie complémentaire (mutuelle, assurance, etc.). Source : www.ameli.fr, 19 juin 2024...

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Point juridique

Le zonage pour l’installation des sages-femmes libérales

Le SROS a pour objet de « prévoir et de susciter les évolutions nécessaires de l’offre de soins afin de répondre aux besoins de santé de la population et aux exigences d’efficacité et d’accessibilité géographique. (…) Il indique, par territoire de santé, les besoins en implantations pour l’exercice des soins de premier recours, notamment celles des professionnels de santé libéraux, des pôles de santé, des centres de santé, des maisons de santé, des laboratoires de biologie médicale et des réseaux de santé. »Lors d’une installation en libéral, en plus des conditions générales d’installation, des conditions supplémentaires pour accéder au conventionnement peuvent exister en fonction de la zone d’installation. Des contrats d’aide à l’installation sont également disponibles dans certaines zones, dans lesquelles il est possible de bénéficier d’exonérations fiscales. 1. Les conditions spécifiques d’accès au conventionnement dans les zones « surdotées » Lorsqu’une sage-femme envisage d’exercer en libéral dans une zone classée comme « surdotée » parl’Agence régionale de santé (ARS), la Caisse d’assurance maladie du lieu d’exercice demandé examinedifférents critères, en plus des conditions générales de conventionnement. Pour obtenir le conventionnement en zone surdotée, il faut qu’une sage-femme libérale conventionnée dans cette zone ait définitivement cessé son activité.En plus, le projet professionnel de la nouvelle sagefemme (reprise d’un cabinet, intégration dans uncabinet de groupe, exercice d’activité particulière…) sera évalué, afin de s’assurer qu’il a pour objectif de maintenir la continuité dans la prise en charge de l’activité assurée par la sage-femme cessant son activité. La Caisse d’assurance maladie vérifiera également que le projet de la nouvelle sage-femme s’intègre avec les autres professionnels de la zone considérée. Cinq types de zones sont prévus :...

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Grand Angle

Avez-vous déjà envisagé de vous syndiquer ?

Les sages-femmes jouent un rôle crucial dans le système de santé, assurant depuis des temps immémoriaux le suivi des grossesses, les accouchements et les soins postnataux. Avec l’élargissement de leurs compétences et malgré l’importance qu’elles prennent auprès des femmes et des familles, les conditions de travail et les défis auxquels elles sont confrontées restent souvent méconnus du grand public et insuffisamment considérés dans les décisions prises par les instances gouvernementales.Derrière cette réalité, deux syndicats professionnels – l’Organisation nationale syndicale des sages-femmes (ONSSF) et l’Union nationale et syndicale des sages-femmes (UNSSF) – oeuvrent sans relâche pour défendre leurs droits et améliorer leur quotidien. Nous nous sommes fixé pour objectif dans cet article de parvenir à rendre limpides la complexité de leurs tâches et l’importance des enjeux pour la profession. Les syndicats professionnels ne sont pas des syndicats comme les autres Lors de nos entretiens avec les deux syndicats des sagesfemmes en France, nous avons eu l’opportunité de discuter avec leur présidente respective, Caroline Combot (ONSSF) et Prisca Wetzel-David (UNSSF). Ces échanges nous ont offert un panorama précieux des défis auxquels les sages-femmes sont confrontées et des efforts continus mis en oeuvre pour améliorer leurs conditions de travail. Au cours de nos différentes discussions, nous avons pu constater à quel point l’engagement de Prisca Wetzel-David et Caroline Combot était palpable, incarné par une sincérité et un dévouement sans faille. L’UNSSF et l’ONSSF ne disposent pas de locaux propres et fonctionnent grâce à l’implication de leur conseil d’administration et de leurs membres. En dépit des responsabilités professionnelles qu’elles assument déjà, ces dirigeantes et leur équipe consacrent un temps précieux aux activités syndicales. Leur abnégation et leur détermination nous ont sincèrement impressionnés. Le préalable pour entrer dans le vif du sujet est d’expliquer ce qu’est réellement un syndicat professionnel. L’ONSSF et l’UNSSF ne peuvent...

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Recherche

Marcher contre la lombalgie

Moins de douleur et moins de récidives L’étude a suivi 701 adultes qui s’étaient récemment rétablis d’une lombalgie, en les assignant soit à un programme de marche accompagné de six séances d’éducation à la physiothérapie, soit à un groupe témoin. Les participants au programme de marche ont connu moins d’épisodes de douleur et des périodes plus longues sans récidive, par rapport au groupe témoin. La période médiane sans douleur a été de 208 jours pour le groupe de marche, contre 112 jours pour le groupe témoin. De multiples bénéfices à coût nul La marche est gratuite et largement accessible. Elle favorise la santé de la colonne vertébrale par des « mouvements oscillatoires doux », réduit le stress, libère des endorphines bienfaisantes et offre d’autres avantages pour la santé tels que l’amélioration de la santé cardiovasculaire et du bienêtre mental. Marchons ! La marche peut donc réduire la nécessité d’un soutien médical et d’un arrêt de travail, en mettant l’accent sur la prévention plutôt que sur le traitement de la lombalgie. Les résultats plaident en faveur de l’intégration de programmes de marche dans les soins de routine pour les personnes souffrant de lombalgies récurrentes. Selon cette même logique, les modes de vie sédentaire sont en revanche contre-productifs....

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A la Une

Le Yoga, une solution pour luttercontre le stress prénatal

La société moderne est un lieu de stress. Si la pandémie Covid s’est heureusement résorbée, les guerresincessantes, les relations sociales complexes, l’instabilité économique et la menace imminente du changement climatique pèsent lourdement sur la population mondiale, laissant de nombreuses personnes dans l’incertitude et l’appréhension face à l’avenir. L’organisme face au stress chronique Lorsqu’une personne est confrontée à un stress, l’organisme déclenche une réponse biologique complexedans le corps, en libérant des hormones telles que l’adrénaline et le cortisol dans la circulation sanguine.Ces hormones nous permettent de réagir efficacement en cas d’urgence ou de toute autre menace nécessitant une action rapide pour notre survie. En cas de stress chronique et/ou prolongé, en revanche, le système naturel de réponse tend à rester activé pendant une période plus longue, ce à quoi le corps humain est mal adapté : la libération continue d’hormones de stress perturbe le fonctionnement normal de l’organisme et accroît le risque de problèmes de santé allant de l’anxiété et de la dépression aux troubles du sommeil et de la digestion, en passant par les maladies cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux. [1] Des taux de natalité en berne Le stress chronique omniprésent dans notre société provoque une forte baisse du taux de natalité. Que ce soit en Europe ou dans le monde, de nombreux pays luttent pour maintenir leur population et la France ne fait pas exception : depuis 2010, le nombre de bébés nés en France n’a cessé de diminuer, pour atteindre un nouveau plancher de 678 000 bébés en 2023, soit 1,68 naissance par femme. [2]Même dans un monde idéal, la responsabilité de créer, de nourrir et de protéger une nouvelle vie est considérable. Il est donc logique que, dans le nôtre qui est de plus en plus instable, de moins en moins de femmes veuillent ou puissent...

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Portrait

Stéphanie Freisse, On est un peu sorcières…

Pourquoi sage-femme ? Pendant la guerre, ma grand-mère s’était mise à accoucher les dames du coin dans le Cotentin. Elle était totalement autodidacte. Dans son village de pêcheurs, quand quelqu’un se blessait, c’était elle qui soignait. On venait la chercher quand un bonhomme se fichait un hameçon dans le pied, se coupait ou quand il y avait des piqûres à faire. Elle avait acheté une seringue en verre qu’elle faisait bouillir. Je ne sais pas où elle avait appris tout ça. On est un peu sorcières dans la famille (rires). Et puis ma mère parlait souvent de la sage-femme qui l’avait accouchée, une femme merveilleuse, disait-elle. Il y avait une photo d’elle à la maison, avec moi dans les bras. Ma vocation vient peut-être de là ! J’ai su que je voulais être sage-femme dès la classe de cinquième. À 12 ans, j’étais en vacances chez mon oncle pédiatre, quand je lui ai dit :— Tonton, fais comme tu veux mais pendant mes vacances chez toi, je veux faire une garde avec une sage-femme.Il a ouvert des yeux ronds et m’a répondu :— Mais ça va pas la tête ? Tu es bien trop petite !— T’es mon parrain, ça sert à ça un parrain !Le lendemain il est revenu et m’a dit :— Je t’ai arrangé le coup. Normalement tu n’as pas le droit de rentrer dans une salle d’accouchement. Ce soir, je t’emmène à 22 heures avec une sage-femme qui veut bien que tu passes la nuit avec elle, et je viens te chercher demain à 7 heures avant l’arrivée de la surveillante.Donc, j’ai passé la nuit avec la sage-femme, j’ai vu deux accouchements. En rentrant chez lui, j’ai dit à mon parrain :— Cette fois c’est sûr, c’est bien ça que je veux faire. Sauf les épisiotomies,...

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Développer l’HAD ante et post partum pour améliorer le vécu des patientes – Isabelle Désormière, Sage-femme coordinatrice

Le vécu des patientes au coeur de la prise en charge Certains rapports estiment à 80 % la proportion de femmes pour lesquelles la grossesse se déroulerait sans complication majeure1. Toutefois, certaines femmes présentant une pathologie antérieure ou inhérente à la grossesse peuvent nécessiter une hospitalisation.Souvent soudaine et d’une durée indéterminée2, l’hospitalisation pendant une grossesse est vécue de manière très fluctuante d’une patiente à l’autre. En effet, chaque femme est différente et chaque grossesse est unique.L’hospitalisation a des répercussions évidentes sur les besoins fondamentaux (alimentation, sommeil…) de la patiente qui perd de son autonomie. En effet, le choix et l’horaire des repas sont imposés par le service. La modification du régime alimentaire, associée à un transit physiologiquement ralenti pendant la grossesse, entraîne très souvent des troubles digestifs. Parallèlement, le changement d’environnement, les inquiétudes et les questionnements de la future mère sur son état de santé et celui de l’enfant à venir impactent fortement son sommeil.Il a été décrit que l’hospitalisation engendre également un isolement social et familial. La solitude peut envahir les patientes, avec parfois un sentiment d’incompréhension vis-à-vis du personnel médical, mais aussi de l’entourage. L’hospitalisation prénatale peut ainsi avoir des répercussions négatives sur le fonctionnement familial à moyen ou long terme3. La mère en devenir se sent souvent coupable. Elle a l’impression d’être la cause de la pathologie et d’être, avant même la naissance de son enfant, une mauvaise mère pour lui.De plus, le suivi médical, les prises de sang, les enregistrements répétés du rythme cardiaque foetal, les examens cliniques (touchers vaginaux, palpation utérine) peuvent modifier la tolérance de la femme vis-à-vis de l’hospitalisation et être ressentis comme une violation. Les avis médicaux peuvent être multiples et désorienter davantage la femme hospitalisée engendrant une situation très anxiogène. Le stress demeure, pour la plupart des patientes, omniprésent tout au...

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